Leopold II (Peter Leopold Josef Anton Joachim Pius Gotthard; 5 May 1747 – 1 March 1792) was Holy Roman Emperor and King of Hungary and Bohemia from 1790 to 1792, Archduke of Austria and Grand Duke of Tuscany from 1765 to 1790. Léopold II épousa le 5 août 1765 à Innsbruck l'infante d'Espagne Marie-Louise de Bourbon (1745-1792) (cinquième fille de Charles III d'Espagne), dont il eut seize enfants : Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Le Règne de Léopold II. D'ailleurs, il est admiré par les physiocrates, partisans du despotisme légal. À l'époque où il gouvernait la Toscane, Léopold avait eu envie d'accorder une constitutionà ses sujets. La transformation du système fiscal fut entreprise par Léopold Ier dès les premières années de son règne en se fondant encore une fois sur les idées des physiocrates. Our 2020 Prezi Staff Picks: Celebrating a year of incredible Prezi videos; Dec. 1, 2020 Blog. L'empereur Léopold II. Il soutient aussi la politique de Tavanti qui, à la fin de 1781, souhaitait grâce au cadastre rendre la propriété foncière comme base de mesure pour l'imposition fiscale. Léopold II d'Autriche est d'abord destiné à l'état ecclésiastique. Certains de ses autres fils jouèrent de leur temps un rôle considérable. En tant que prince souverain du grand-duché de Toscane, Pierre-Léopold figure parmi les principaux despotes éclairés de son temps. Dans la mesure où il n'avait pas d'armée à entretenir et qu'il avait supprimé la petite flotte de guerre qu'entretenaient les Médicis, tout son revenu restait disponible pour en faire profiter ses États. Elisabeth-Marie d’Autriche (1883-1963) Léopold 1e > Léopold II > Clémentine. Il supprima ainsi les limitations ruineuses qui pesaient sur l'industrie et la liberté personnelle, que ses prédécesseurs, les Médicis, avaient imposées et auxquelles son père n'avait pas touché pendant sa vie. Léopold est nommé évêque en 1598 alors qu'il n'a … Il était d'un naturel froid et réservé. Dans les six semaines qui suivirent son accession au trône, il montra son mépris pour la faiblesse de sa mère en déchirant pratiquement le traité d'alliance qu'elle avait signé en 1756 et en engageant des négociations avec la Grande-Bretagne pour surveiller la Russie et la Prusse. Son père, l'empereur François Ier, meurt à Innsbruck pendant les festivités qui accompagnent ses noces, le 18 août 1765, et il lui succède en tant que grand-duc de Toscane tandis que son frère aîné devient empereur. L'abolition de la peine capitale par Léopold fut la première abolition permanente de l'époque moderne. Quand Louis XVI eut juré d'observer la constitution de septembre 1791, l'empereur voulut croire qu'on avait en France abouti à un règlement. Né le 3 octobre 1797 à Florence, grand-duché de Toscane; Abdique le 21 juillet 1859 en faveur de son fils; Décédé le 29 janvier 1870 à Rome, Italie À l'Est, il était menacé par les ambitions agressives de Catherine II de Russie et par la politique sans scrupules de la Prusse. D'ailleurs, en s'inspirant directement des propositions des physiocrates, le grand-duc introduit la liberté du commerce des grains en abolissant les entraves qui gênaient les cultures céréalières. Si le règne de Léopold comme empereur du Saint-Empire romain germanique et comme roi de Hongrie et de Bohême avait duré suffisamment, il aurait renouvelé sur une plus grande échelle les réussites qu'avait obtenues sa politique de réformes dans la Toscane lointaine. Il était d'un naturel froid et réservé. Il a cependant continué à soutenir qu'aucune bulle papale pourrait être publié dans son domaine sans la sanction royale (placetum de regium). Léopold II d'Autriche, (1747 – 1792), empereur romain germanique, roi apostolique de Hongrie, roi de Bohême, archiduc souverain d'Autriche Saint Léopold III margrave d'Autriche (1102 – 1136), canonisé en 1485 Léopold III de Habsbourg, (1351 – 1386), duc d'Autriche En 1769, le marquis dédie officiellement son nouveau livre, Les Économiques, au grand-duc, consacrant publiquement sa relation privilégiée avec la Toscane[1]. Le 17 décembre, Léopold prête le serment constitutionnel. Sa sœur lui envoyait des appels au secours éperdus et il était harcelé par les émigrés royalistes qui intriguaient pour provoquer une intervention armée en France. Dans la période 1779-1782, Pierre-Léopold entama un projet de constitution qui se continua après 1790 pour fonder les pouvoirs du souverain sur une relation contractuelle. La torture fut aussi bannie. Il en profite pour agrandir son domaine en Suisse et en Forêt-Noire notamment avec des mariages. Il acquiert aussi les duchés d'Autriche, de Styrie et de Carniole. Pourtant, Joseph II et lui étaient très attachés l'un à l'autre et se rencontraient souvent, aussi bien avant la mort de leur mère que par la suite. Léopold est d'abord destiné à l'état ecclésiastique, et on pense que ce sont justement les études théologiques auxquelles on le contraignit qui l'influencèrent défavorablement envers l'Église. Au cours de son éducation, il ne s’attache qu’aux matières qui l’intéressent et parmi celles-ci, il n’apprécie vraiment que la géographie. Léopold est le fils d'Ernest de Babenberg et … De même, après tant de siècles, il abolit les corporations de métiers qui remontaient au Moyen Âge et qui étaient le principal obstacle au progrès économique et social. À sa sœur, il donna de bons conseils et lui promit de l'aider si elle et son mari arrivaient à s'échapper de Paris. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Le 30 novembre 1786, après un moratoire de fait sur les exécutions (dont la dernière remontait à 1769), Léopold promulgua la réforme du code pénal qui abolit la peine de mort et ordonna la destruction de tous les instruments destinés aux exécutions sur son territoire. Le grand-duc et ses ministres lisent attentivement les ouvrages des physiocrates et s'inspirent de leurs idées dans la conduite de leurs réformes. Lors des cérémonies, la tradition rapporte qu'on joua le Concerto du Couronnement de Mozart (concerto pour piano no 26 en ré majeur K. 537), composé pour l'occasion. À l'Est, il était menacé par les ambitions agressives de Catherine II de Russie et par la politique sans scrupules de la Prusse. Léopold … Dec. 10, 2020. Traduction avers : (Léopold II par la grâce de Dieu, Prince impérial d'Autriche, Prince régent de Hongrie et de Bohême, Archiduc d'Autriche, Grand-duc de Toscane). Dans les six semaines qui suivirent son accession au trône, il montra son mépris pour la faiblesse de sa mère en déchirant pratiquement le traité d'alliance qu'elle avait signé en 1756 et en engageant des négociations avec la Grande-Bretagne pour surveiller la Russie et la Prusse. Mais à cette époque-là, il s'occupait surtout de la conférence de Sistova qui, en juin, conduisit à une paix durable avec la Turquie. 1865. Pourtant Léopold ne fut jamais populaire auprès de ses sujets toscans. Quand il succéda à Joseph II, il commença par faire de larges concessions à ceux dont les innovations de son frère avaient lésé les intérêts. Cette disposition est la condition de son mariage, le 5 août 1765, avec Marie-Louise, fille de Charles III d'Espagne et de Marie-Amélie de Saxe. Pierre-Léopold de Habsbourg-Lorraine, né au château de Schönbrunn (près de Vienne) le 5 mai 1747, et mort à Vienne le 1er mars 1792, grand-duc Léopold Ier de Toscane (1765 – 1790) puis empereur des Romains sous le nom de Léopold II, roi apostolique de Hongrie, roi de Bohême, archiduc d'Autriche (1790 – 1792), était le troisième fils de François Ier, empereur des Romains, grand-duc François II de Toscane, ex-duc François III de Lorraine et de Bar, et de son épouse Marie-Thérèse, reine de Hongrie et de Bohême, archiduchesse d'Autriche. Il promut une législation ecclésiastique de type juridictionnel, en réorganisant les biens de l'Église selon des critères d'utilité sociale et de convenance économique pour les intérêts de l'État ; le souverain se montra ouvert, en outre, aux tendances jansénistes d'une partie du clergé toscan. Léopold V, dit le Vertueux ou le Vieux, né en 1157 et mort le 31 décembre 1194 à Graz en Styrie, est un prince de la maison de Babenberg, fils du duc Henri II d'Autriche et de Théodora Comnène, une nièce de l'empereur byzantin Manuel I er. Leopold II . Les attaques contre les droits des princes allemands sur la rive gauche du Rhin et la violence croissante des factions qui, à Paris, menaient campagne pour provoquer la guerre, montrèrent bientôt, cependant, que cet espoir était vain. Il promut une législation ecclésiastique de type juridictionnel, en réorganisant les biens de l'Église selon des critères d'utilité sociale et de convenance économique pour les intérêts de l'État ; le souverain se montra ouvert, en outre, aux tendances jansénistes d'une partie du clergé toscan. Mais son administration stable, cohérente et intelligente, qui savait progresser pas à pas, mena le grand-duché à un niveau élevé de prospérité. Là encore cette politique suscita de vives oppositions, et le grand-duc, qui cette année-là monta sur le trône impérial, fut contraint de renoncer. Assuré de l'appui anglais, il se trouva en mesure de déjouer les intrigues de la Prusse. Votre aide est la bienvenue ! Quand il succéda à Joseph II, il commença par faire de larges concessions à ceux dont les innovations de son frère avaient lésé les intérêts. À la mort de son frère aîné Charles, en 1761, il est décidé qu'il succède à son père comme grand-duc de Toscane, grand-duché qui est érigé en « secundogéniture », c'est-à-dire en apanage pour le deuxième fils. De même, après tant de siècles, il abolit les corporations de métiers qui remontaient au Moyen Âge et qui étaient le principal obstacle au progrès économique et social. En janvier, il dut éconduire de façon très brutale le comte d'Artois (le futur Charles X) : son bon sens se révoltait devant l'extravagance des émigrés français et il faisait tout son possible pour éviter de s'empêtrer dans les affaires de leur pays. Lors des cérémonies, la tradition rapporte qu'on joua le Concerto du Couronnement de Mozart (concerto pour piano no 26 en ré majeur K. 537), composé pour l'occasion. Par exemple il tint lui aussi à ce qu'aucune bulle pontificale ne pût être publiée dans ses domaines sans son autorisation (placetum regium). How to create your brand kit in Prezi; Dec. 8, 2020. Comme ces mesures n'arrivaient pas à rétablir l'ordre, il fit entrer des troupes dans le pays et rétablit à la fois son autorité et les franchises historiques des Flamands. Mais il régna à peine deux années, et deux années très difficiles avec des dangers à l'Ouest et à l'Est. Les bouleversements révolutionnaires qui grandissaient en France mettaient en danger la vie de sa sœur, la reine Marie-Antoinette, et de Louis XVI, en même temps qu'ils menaçaient ses propres domaines en y semant une agitation subversive. Leopold II von HABSBURG-LOTHRINGEN aka Peter Leopold Joseph of AUSTRIA; Holy Roman EMPEROR; Knight of Golden Fleece (Head) Born: Schonbrunn 1747 Died: 1792 Vienna Léopold était trop fin politicien pour ne pas être secrètement heureux en voyant les désordres intérieurs de la France détruire sa puissance et son influence en Europe. Il savait qu'il devait succéder en Autriche à son frère aîné qui n'avait pas d'enfants et il ne voulait pas hériter de son impopularité. Pendant les vingt ans qui s'écoulèrent entre son retour à Florence et la mort de son frère aîné Joseph II en 1790, il se consacra à réformer l'administration de ses États. Pourtant il ne renonça à rien de ce qu'avaient fait Marie-Thérèse et Joseph pour renforcer l'autorité de l'État. Il fut couronné roi de Bohême à Prague le 6 septembre 1791. Quand Louis XVI eut juré d'observer la constitution de septembre 1791, l'empereur voulut croire qu'on avait en France abouti à un règlement. Un appel personnel à Frédéric-Guillaume II aboutit à une conférence entre les deux souverains à Reichenbach en juillet 1790 et à une entente qui était en fait une défaite pour la Prusse : le couronnement de Léopold comme roi de Hongrie, le 11 novembre 1790, fut précédé par un accord avec la Diète où il reconnaissait la place prépondérante des Magyars. Henry Morton Stanley retrouve David Livingstone, après 236 jours de recherche, dans ce qui s’avère une partie du monde en soi, immense, aux inextricables zones de forêts, de marais et de savane, arrosées par un fleuve Congo labyrinthique.