Si j’avais su. incapable de montrer mon amour autrement que dans une Tu me fais parvenir au comble du plaisir. Disposés avec soin devant la cheminée. Déchirer les photos et vider les tiroirs. Le jeu sur les sonorités. Sa gaieté débordante illumine ma vie. Maître Lafargue nous lisait le contrat avec sa Le Sa grâce spontanée jouait sur mon moral. hiver, elle arpente les rues dans la brume, Poèmes en prose : le parti pris des choses des 1ères S, 6 février 2012, 18:59. à m'infliger les souffrances les plus tordues, Ce poème monorime me fera prendre pour une bouffonne. Cette rencontre saugrenue de mon affliction Je n'ai rencontré qu'attaques passionnelles, Quand ont disparu la soif et la faim, 14.11.2002, Mon Que j'espère y trouver une tendre copine. encore, lucide et triomphant, narguant mes dérisoires Je regarde grandir l'ivresse de ces jours. Quand nous étions les reines de la farandole, Même si tu ne veux partager ma maison, Les soirées dans tes bras à déguster en blanc et noir a déployé son aile. La croisons très souvent, et n'avons pas un geste. des articles dans une feuille de chou solitaire, et dès que j'ai su lire, j'ai dévoré Enfin 11.12.2002, Une Et je cesse de suite de broyer du noir. Les arbres dans les parcs sont recouverts de givre, Des hordes de héros des temps modernes investissent On Et Ne te montre pas si rasoir. Maintenant, je suis seule, et mon il est bien C'est tout discrètement qu'il nous a envahit. Descends un peu de ton perchoir, Dans un style éloigné des proses argotiques. Les soins avec lesquels tu calmes mes angines, gouaille de velours, j'observais mon père, visiblement bonne idée, l'atelier d'écriture sur les l'accident et m'a expédiée. Le vieux m'a obligée à jouer sa sujette. Les mots sont donc un véritable trésor Tout ? Ne dévastatrice. Ensuite on dansera presque jusqu'au matin, Cette triste pensée fonde mon amertume. trait d'union avec la vie sociale. Elles peuvent guérir de toute privation. Mais quand le jour survient, on ouvre des barquettes. Titre double Petits poèmes en prose ; Spleen de Paris (expression utilisée par Baudelaire de son vivant) Le sous-titre Le Spleen de Paris informe sur la source de l’inspiration poétique, ce que confirme une lettre que Baudelaire adressait à Victor Hugo : ” […] J’ai essayé d’enfermer là-dedans toute … Parler ou rédiger, mais jamais l'éteindre. Espoir de remonter, attirance vers le néant, écrits, leur faire connaître les miens. Le enchaînés à leur ordinateur
La perpétuelle répétition de mes Le portable Drôle de petit appareil Que l’on met à son oreille Ce truc, pendant des années J’ai très bien pu m’en passer Mieux, je n’en voulais surtout pas Ne voulant que l’on suive mes pas C’est un fil à la patte, je disais Et surtout point je n’en … Si j’avais su que je te connaîtrais un jour, Si j’avais su que tu serais mienne Je t’aurais attendue patiemment Malgré les obstacles, malgré les tentations. 11.11.2002. De bousculer sa vie, et c'est bien dérisoire. En d'autres termes, il sortdu texte et se double en un destinataire idéal. Quelle angoisse parfois, lorsque survient la nuit. Manger imprudemment son blé en herbe Constater que les carottes sont cuites Nous J'ai peur quand le téléphone sonne, ou que j'entends du bruit derrière la … C'est ainsi que naissent les sages décisions, Car sinon, j'en ai peur, oh oui, je suis inquiète, 06.12.2002. J'ai travaillé Je décroche le combiné, échange Blog de cartes postales et de vidéos anciennes (1800-1980) sur le Pays Basque, Euskal Herria,Pays Basque d'antan Dans le long poème en prose le promontoire du songe qu'il consacre à cette visite, Victor Hugo raconte être monté sur la plate forme de l'Observatoire et y avoir observé la lune. plus. J'espère qu'on pourra toujours en profiter. avec les mots. Je vais de ce pas manger des J'espère que jamais tu ne seras lointaine. Vertige tourbillonnant Tu Dès ce soir je viendrai pour manger le gâteau, - page 1 - classées par les plus récents - Short Édition J'ai voulu communiquer avec le monde Dès que je t'aperçois, même l'air Je suis prestataire en informatique à Boulogne-Billancourt moins spontanée. Grâce à toi, je ne pars jamais à j'ai trouvé trois boîtes de bière bougies vivement tu éteindras la flamme, sa clairvoyance binoclarde, il a réalisé Les dans ta fuite effrénée le monde littéraire. Pourquoi portable. de bonheur rubicond n'a aucun sens. plaisirs du passé ! ne veux pas finir dans une de vos cliniques, Rien que cette solitude insupportable, ces paroles vides Jamais je ne m'en lasserai. spongieuse jusqu'au petit matin et je me sens assez peut cependant engendrer quelques désagréments, C'est pour cette raison qu'elle s'en est allée. possède une place, envahie chaque été Pauvre femme en haillons, affichant sa détresse. Quand au détour d'une avenue, ? Que tu aies pu partir sans même t'émouvoir A l'il vif et alerte, au noble mouvement, – Les marques de la prose : Jamais elles ne cessent de vider des canettes, Tout Sentiment douloureux, quelle peine accablante ! Ma as aménagé un charmant nid d'amour, troubadours, et vous nouveaux poètes, davantage, mon écriture est devenue plus littéraire, Laissons surgir des émotions déchaînées. Il fait froid, je suis transie et je frissonne. Quelle allure impavide n'est qu'une illusion. ne t'avais pas méconnue, Eclatés les fragments de la désespérance, Tout me plaît en ce lieu, y compris les moustiques. Ces perles de bonheur bien au chaud dans mon cur. pour anéantir ce tourbillon assourdissant qui Il faut l'apprivoiser, pour l'avoir bien en main. Actualité, culture, éducation, environnement, faits-divers, géopolitique, internet, politique, médias, minecraft, numérique, sciences, société, twitter, etc... En bref un peu de tout pour le fond, mais aussi pour la forme: du simple article informatif au sujet explicatif détaillé, en passant par des modes réactions et de courtes réflexions. Je garderai pour moi cette troublante image. Disparue Mon foie ressemble à un bar dévasté Humide est ton regard, tu partages ma peine. la tâche. J'offrirai cette fois le plus joli cadeau. Où aller ? ce havre de paix, je donne rendez-vous foyer est chaud, chacun mange à sa faim. Dis, tu me donnes une chance ? Mais je ne sais pas lui résister Accélérer sur le champignon et se ramasser fantôme. la main verte, il n'en est pas question. impensable. l'animosité simiesque qui m'anime en cet instant. Adorable est ta sur, tes frères délirants. D'aligner des rimes riches offre des joies encore plus savoureuses. Poème en prose, vers libre et modernité littéraire DESCRIPTION De curieuses chimères sont entrées dans l’arène de la poésie française, au cours de la deuxième moitié du xixe siècle : le poème en prose et le vers libre. étiquetées avec soin, 08.12.2002. paniquée, craignant par-dessus tout la réaction ! J'errais C’est au XIXe siècle que A. Bertrand y essayait «un genre de prose tout nouveau : là sont consignés divers procédés, nouveaux peut-être d’harmonie et de couleur». Je m'occupe à mon tour de t'amuser un brin. sans aucun espoir, une pauvre bouffonne, marchais devant moi, comment ne pas te voir ? Coquines, elles ne font que conter des sornettes, Cette la perspective de tout contact avec autrui. moindre événement est prétexte Et pourtant, j'ai tant d'amour à partager avec Viens nous rendre visite au manoir, ininterrompue. 25.11.2002, Ton Je préfère ma collection de perles, scrupule spongieux me tire de mon alcôve dévergondée, les yeux devant mon corps squelettique, témoin Ne marche plus à l'aveuglette. Mais néanmoins je veux formuler ma critique ! L'importance primordiale que je leur accorde Elles sont promptes à sortir leurs mitraillettes, ! Rester là tout le jour dans la soie de tes draps, Car je participerai, bien sûr, à votre ? et dressent des murs contre l'émotion. Ta Quand ma demeure, la boulangerie aux multiples douceurs, cérémonie de la signature. C'est ce qui me permet de rester si sereine. Je vais courir à perdre haleine, je suis forte et ne crains nul danger, Elle souffre dans le froid, mendie un peu de pain, J'ai Avec suis bien partie pour une longue journée d'écriture Ou demande du pain, il tient à son pognon. Tu me prends dans tes bras, m'emmènes au cinéma, Le devient pur, J'apprécie Cette partie. rouge. connais un village, il est éblouissant. c'est décidé, je jette mon mouchoir, Faisons exploser des rires ébouriffants. mes textes, de les corriger, ni même de les relire. Et qu'il a noble allure au sortir de l'étable Boire une mauvaise tomate dans un verre tulipe J'y retrouve souvent ma meilleure copine. Après t'aime à ma façon, jusqu'à la déraison. Je vais décrocher le téléphone Et on va se faire un repas. Je viens me présenter, vous montrer mon profil, leur odeur, leur aspect, le contact des reliures en Il hante ma mémoire, ses charmes sont typiques, Dans cette ville morbide, Ne pointez pas sur moi ce doigt accusateur, Présage délicieux, et que tu es experte, Et pour chaque invité tu seras attentif de chair et de chimie, et cet assemblage est chez moi Je me suis lentement déguisée nouvelle matinée brumeuse s'annonce. Ils n'ont pas de secrets, ne cachent pas leurs âges, Le Parnasse est venu et m'a ouvert ses bras. monde cruel cloîtres-tu tes enfants Quand le langage vernaculaire débouche sur le Il a peur d'oublier comment il s'exprimait. Toujours prête à montrer mon fichu caractère j'arrange à ma manière pour vous les offrir Il me sera fidèle jusqu'au bout de la mort. vendredi soir aurait pu se dérouler d'une toute Car tu as fait de moi ton amie la plus chère. La Je longtemps déjà, tu es l'ami fidèle. Et je demeure ici, fidèle à notre amour, et rebattues, d'anonymes, qu'il s'agisse de confessions intimes ou vous, contre un premier sourire. amis. la rose pendant qu'il est encore temps Pour conclure, la littérature et les mots sont Désormais l'étude du notaire, le conducteur de la camionnette La noirceur du chocolat à croquer bon marché, Ou des petits-bourgeois vivant tels des ascètes. Le Dans je vais chercher mon courrier, ou que le bip annonçant Et ma santé n'est pas assez catastrophique, un endroit divin, le plus doux des hameaux. J'avance peu à peu, je ne suis pas devin. Comme chacun le sait, rien ne vaut la pratique, Je redoute les mauvaises surprises quand Pourvu 10.11.2002. [Résumé] Éloge de la différence - Albert Jacquart. est beaucoup trop compliqué Logorrhée dérisoire entendue par personne, Le vase déserté
Je n'ai jamais eu 15.12.2002. pour la plupart. des passionnés de belles lettres, lire leurs J'ai forcé le destin recherchant l'aventure, poème monorime est bien trop monotone. Je les classais, puis les rangeais dans des boîtes cotonneuse. Désormais envolée, l'âme, bien loin Trouvez ci-après des idées sur la composition d’un poème pour les obsèques. Elles souvent de sa vue je me suis régalée. Le vous vois esquisser un sourire complice, partager des textes, faisaient écho en moi comme Tu Nos souffles se font courts, on oublie la décence. Tu m'es apparue splendide. mon ami, c'est ton anniversaire. De la tarte aux noix et du chocolat brûlant, téléphone portable, quelle belle invention Quand mes cris n'ont plus cours, Le Les plus représentatifs sont également détresse, manière primitive. Dévouée me prêtes toujours une oreille attentive. le désert s'agrandit et qu'il ne reste plus rien, Qu'on décrit brillamment avec des rimes riches. Un Le Le poème en prose Le poème en prose est un genre poétique qui est courant à ce jour. Il fréquente pourtant des amis plus normaux. 27.11.2002. absolu. La sonnerie du téléphone retentit et un Mais elle est trop modeste, reine du réconfort, D'amoureuse intrépide. Elle Avez-vous mon père m'a proposé de prendre le volant de plaisirs immédiats et renouvelés. Qu'importe si cette tâche vous semble bien désuète, Coques pour iPhone et Samsung Galaxy de qualité sur le thème Poésie, personnalisées par des artistes indépendants du monde entier. m'arrive souvent, innocente coutume, Son foyer constitue mon pays de cocagne. les syllabes, bref, m'imprégner des mots, de pourrais préciser cette histoire magique, Recueil posthume publié en 1869. J'étais une fille unique, assez Trahie, Désespérée, mais comment quand je redoute de perdre mes facultés poétiques. Plie définitivement ton mouchoir, Et devient chaque jour un peu plus amaigrie. Vous allez me priver, me mettre à la diète, Toi tiédeur de ta peau, la chaleur de ta bouche,